L’artisan de la pêche locale 

Un guide enraciné dans la Corrèze 

Originaire de Charente-Maritime, c’est en Corrèze que Guillaume Altieri a trouvé son port d’attache — un territoire où les rivières, les arbres, les torrents façonnent chaque lancer et chaque choix de canne. 
À travers son blog Le Cache Noisette, il raconte ses sorties, ses dérives le long des berges, ses adaptions face à la météo capricieuse, et le dialogue constant entre lui, la rivière et le poisson.  

Diplômé en 2009 du BPJEPS Pêche de Loisir, Guillaume n’a jamais cessé d’explorer, d’écouter les eaux et de faire évoluer son art. Les récits de ses sessions avec différentes cannes (MHX, Batson, etc.), utilisés tantôt en soie 3, tantôt en soie 5, montrent sa quête permanente de l’outil idéal.  

L’artisan monteur qui pêche ce qu’il conçoit 

Sous la bannière LCN (Le Cache Noisette), Guillaume assemble ses cannes comme un sculpteur façonne son œuvre. 
Il ne s’agit pas seulement de choisir des composants haut de gamme : c’est une écoute, un ajustement, un dialogue entre le pêcheur, la rivière et l’outil. 

Dans ses récits, il évoque ses propres cannes — la 9 pieds soie 4, la 9 pieds soie 5 — utilisées sur ses terrains de jeu en Corrèze, sur les No Kill et peuplés d’ombres et de truites.  
Cette proximité entre le constructeur et l’utilisateur confère à ses cannes une dimension presque organique : elles deviennent une extension du geste du pêcheur. 

Une approche pédagogique enracinée dans la nature 

Avec ses stages, ses séances d’initiation ou de perfectionnement, Guillaume invite à vivre la pêche plus que de la pratiquer. 
Il met l’accent sur la lecture de la rivière, la stratégie des postes, l’observation des insectes (entomologie) — une approche qui va au-delà du simple lancer de mouche.
Les bassins de Corrèze, les courants cachés, les petites bordures : tout contribue à ce que chaque sortie devienne une leçon, un partage. 

Pourquoi LCN mérite une place sur Tricoleurres 

Parce qu’il incarne ce que je défends : un lien direct entre le produit et le terrain, un artisan qui pêche ce qu’il fabrique, un guide qui connaît les rivières comme personne.
Promouvoir LCN, c’est donner une voix à ceux qui font de la pêche une aventure locale, une passion incarnée. 

Soutenir LCN, c’est soutenir les pêcheurs-artisans 

Adopter une canne LCN, c’est soutenir un homme qui construit, peaufine, teste — pas une entreprise générique.